• Stargate SG1 - Chroniques Oubliées ContemporainVoici venue la nouvelle édition de mon JDRA consacré à la célèbre série télévisée Stargate SG1. Au début du XXe siècle, des archéologues ont découvert un étrange artefact extraterrestre en Egypte et les Américains s'en sont emparés. Après avoir compris qu'il s'agissait d'une porte capable d'envoyer des gens et du matériel aux quatre coins de la galaxie, l'armée des USA a mis au point un programme destiné à entrer en contact avec de nouvelles espèces et à acquérir de nouvelles technologies pouvant servir aux Terriens à se défendre contre les terribles Seigneurs du Système, les Goa'uld. Ce jeu de rôle reprend les codes de la série et situe son action au terme des dix saisons de la franchise.

    Le système est désormais celui de Chroniques Oubliées Contemporain, une version simplifiée du D20 System publiée par Black Book Edition.

     

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  • Résurrection, le jeu de rôle des Chevaliers VampiresQuand une personne de bien meurt, dit-on, elle monte au Paradis. Et quand une personne qui a fait le mal décède, elle descend droit en Enfer où elle subira mille tourments. C'est ce que la morale des principaux monothéismes nous raconte. Et c'est bien entendu totalement faux. Si vous avez passé votre vie à tuer, piller, violer, torturer et ce sans nourrir le moindre remord, alors une place de choix vous attend dans l'au-delà. Un statut de chevalier. Et une fameuse paire de canines...

    Résurrection est un jeu de rôle amateur dans l'univers des bandes dessinées Requiem (Ledroit-Mills, éditions Nickel). Il permet aux joueurs d'incarner des Chevaliers Vampires, l'élite de la soldatesque aux ordres de Dracula, le Maître de la Draconie, l'une des plus puissantes nations de Résurrection. Le monde est à l'inverse de notre planète. Là où il y a les terres, chez nous, il y a là-bas des mers de sang et là où s'étendent nos océans, il y a des terres ravagées et plongées dans l'obscurité. Le monde est entouré de limbes qui transcendent l'espace et le temps et ceux qui arrivent sur Résurrection ont un Destin à accomplir, souvent lié à leur vie terrestre, à quelque époque que ce soit.

    Les règles du jeu utilisent 3D6 plus bonus contre un seuil de difficulté, les doubles permettant de débloquer des points pour acheter des Prouesses, notamment utiles en combat, mais pas seulement.

    Aucun droit n'a été accordé quant à l'utilisation de l'univers, des personnages et des illustrations qui demeurent la propriété de leurs ayants droits. 

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  • Le ClubAnciennement baptisé "Monsters Club" sur ce même blog, "Le Club" est le nom finalement retenu pour mon nouveau jeu professionnel que JDR Editions a la gentillesse de proposer à la communauté. 

    Ce jeu de rôle apéritif vous permet d'incarner des agents très très spéciaux luttant contre tous les dangers qui menacent l'humanité. Issus de l'une des grandes familles de monstres classiques (les vampires, les lycanthropes, les spectres, les créatures, les succubes et les aliens) ou des humains spécialisés, ces agents disposeront de pouvoirs paranormaux et/ou d'un équipement à la pointe de la technologie alien.

    Le système, basé sur des D6, tourne autour des "failles", des échecs critiques qui serviront ici de rebondissements amusants à l'aventure, incarnant une menace permanente pour les personnages tout en favorisant des situations hilarantes.

    La souscription démarre ce vendredi 24 mai 2019 sur Ulule. 

    Le Club


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  • Il y a du neuf dans l'air pour ce projet.

    Et donc, pour ce blog également. On en saura sans doute plus la semaine prochaine. Restez connectés !


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  • Cinéma - Solo : A Star Wars StoryQue signifie être un fan inconditionnel ? Cela signifie que l'on reste fan quelles que soient les conditions. Je suis un inconditionnel de Star Wars. Je reste donc fan même après quelques déceptions. Tout ce qui porte le logo de la saga galactique la plus connue au monde n'est pas forcément bon (je vomis le système et l'idéologie commerciale de l'édition Edge du jeu de rôle, par exemple). En ce qui concerne les films, j'ai pris du bon temps en regardant chacun des épisodes de la nouvelle trilogie parus à ce jour, même si je reconnais la faiblesse d'un Episode VII. Après Rogue One, Solo est donc le deuxième film à sortir sous l'appellation "Star Wars Story", choisie pour différencier les films "hors trilogie" des films de la saga. 

    Comme son nom l'indique, Solo retrace la jeunesse de Han Solo, du moins les débuts de son âge adulte, depuis les bas-fonds de Corellia au raid de Kessel en passant par les années impériales. L'univers étendu nous a enseigné pas mal de choses sur le contrebandier le plus respecté de la galaxie lointaine, très lointaine, mais comme Disney avait promis de ne pas tenir compte de cette encyclopédie parallèle, on pouvait légitimement se demander s'il y aurait de grosses différences avec l'histoire supposée connue. Autant vous le dire tout de suite, j'ai adoré Solo. Une pure merveille à mes yeux et sans aucun doute le meilleur Star Wars depuis que George Lucas n'y touche plus.

    Solo est un film d'action mené tambour battant. Il nous montre un jeune homme idéaliste, prêt à tout pour arriver à ses fins mais dont le cœur penche toujours du côté de la justice et en tout cas des gens qu'il aime. Frondeur, charmeur, insoumis, le jeune Han n'est évidemment pas Harrison Ford, mais Alden Ehrenreich tire parfaitement son épingle du jeu et a su reproduire le sourire si particulier de la Joconde des contrebandiers. Le film est bourré de références aux autres épisodes de la saga, en particulier les plus anciens, mais aussi au monde qui entoure la licence, comme cette plaisanterie de Lando Calrissian sur le choix du prénom (Yan au lieu de Han). 

    Mais plus encore qu'un film d'action, Solo est un vrai film de la Guerre des Etoiles. On y retrouve tous les éléments qui ont fait et continueront de faire la saga Star Wars (il y a même un petit bout de sabre laser, si si). C'est une plongée dans les bas-fonds, les syndicats du crime, où l'on ne peut se fier à personne. C'est un tableau sombre et drôle à la fois - comme un Star Wars doit l'être, d'une galaxie oppressée par l'Empire et asservie par les moteurs les plus puissants qui soient : l'appât du gain et la lutte pour la liberté. On peut même dire que, pour une fois peut-être, l'univers étendu ne proposait pas une version si riche et si admirablement orchestrée de cet épisode de la vie de l'un des héros de la saga originale. 

    Evidemment, fan inconditionnel ou pas, je ne peux m'empêcher de chercher la petite bête dans les films que je regarde. Et franchement, je n'en ai trouvé aucune lors de la projection de Solo. Je me suis un moment hérissé à propos de la révolte des droïdes (j'ai du mal avec l'intelligence artificielle), mais il existe plusieurs cas similaires dans l'univers étendu, qu'ils résultent de complots savamment orchestrés ou de droïdes connaissant de graves dysfonctionnements. Je ne retire donc que du positif de ce film, dont la trame peut parfaitement servir de scénario pour une partie de JDR, toutes éditions confondues. 

    Foncez les yeux fermés et rappelez-vous : Han shoot first !


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